G.H.C. Bulletin 99 : Décembre 1997 Page 2109
ÉDITORIAL
Certains des membres les plus fidèles de GHC nous ont
récemment envoyé plusieurs articles assez longs. Ils
supposent peut-être que les deux derniers numéros
"simples" (les numéros de 32 pages sont des numéros
"doubles") sont dûs à un tarissement des sources. Il n'en
est rien ! Cette "diminution" (à vos yeux) ou "retour à la
norme" (aux nôtres) est volontaire : nous vous invitons
tous à relire (ou lire ?) les "perspectives pour 1997 et
1998" du compte-rendu fait lors de l'Assemblée générale
(page 2097) et vous y verrez les raisons de cette évo-
lution. Ne vous inquiétez pas : nous avons "de la matière"
pour plusieurs "numéros doubles" et si, par extraordi-
naire, la source se tarit, nous vous en informerons.
Aussi, "cent fois sur le métier remettez votre ouvrage,
polissez-le sans cesse et le repolissez" plutôt que de
vous dépêcher de nous l'expédier. Merci d'avance et merci
surtout à tous ceux qui, à défaut de disquette informa-
tique, envoient leurs textes clairement et proprement
dactylographiés sans corrections, interlignes et
retouches, ce qui permet de les passer au scanner sans
tout retaper ou corriger.
Avec ce numéro vous recevez la table des articles et
l'index des noms cités. Parions que ces outils, alliés au
Thesaurus, vous permettront de retrouver des rensei-
gnements qui vous avaient échappé au fil des bulletins.
Notre ami Philippe Camprasse a fait un travail de fourmi
et, malgré quelques imperfections, il a mis à notre
disposition un outil qui nous manquait. Même si vous
n'avez pas la collection complète des bulletins (et
surtout si vous l'avez) vous aurez besoin de retrouver une
référence "perdue" parmi 2000 pages.
CORRECTION
de Jacques de Cauna : Articles 1995-1996, p. 2090
Pour le 4ème article, lire "La seigneurie de Poyloault",
nom gascon aussi orthographié Poiloaud, Poylohaut, etc.
Francophonie et Internet
Nous avons reçu une lettre de l'un de nos adhérents
que nous ne résistons pas au plaisir de vous communiquer.
Nous ne citerons pas l'auteur , pour des raisons de
discrétion évidente. Je signale simplement que nous sommes
répertoriés sur un grand nombre de moteurs de recherche
(sorte d'annuaire des serveurs sur Internet) et que nous
en sommes à notre 8500ème visiteur !
Dix pour cent de nos membres ont une boîte aux lettres et
nous envoient leurs questions, leurs articles de cette
façon. Il y a loin du discours officiel à la réalité des
faits. Mais que des adhésions nous arrivent d'Australie ou
de Paris par ce merveilleux outil, c'est la réalité qui
nous permet de tisser notre toile pour le bien de tous.
Nous avons encore affaire à un espace de convivialité où
l'on trouve de tout : des margoulins et des... bénévoles.
"J'ai une histoire vraie sur Internet. Dans une agence de
France-Télécom, je demande des précisions sur Internet. On
me dit qu'on dispose de Wanadoo (je ne me rappelle plus si
c'est cette orthographe que je lisais sur des panneaux
publicitaires à l'intérieur de l'agence). En tout cas, je
demande une recherche du site Généalogie et Histoire de la
Caraïbe. On me dit qu'il vaudrait mieux que j'aie
l'adresse de GHC sur Internet. Mais je ne l'ai pas en
tête, n'ayant jamais consulté le site. Il faut donc
utiliser le moteur Explorer de Microsoft. A un moment
donné, l'opérateur tape "Caraibe" dans un rectangle ad
hoc. Il ne peut apparemment pas croiser "Caraïbe" +
"Généalogie" + "Histoire"'. Il a 75 réponses et dit
n'avoir pas le temps de les passer en revue. Il me dit
aussi que Wanadoo est associé "avec" 10 000 sites franco-
phones. Il veut flatter ma fibre francophone, apparemment.
Mais il me semble que s'il était si francophone, il
devrait être associé "à" 10 000 sites et laisser l'asso-
ciation "avec" pour les associations with des sites anglo-
phones. Il est vrai que Wanadoo, si Wanadoo il y a, doit
être la contraction de "I want to do"."
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Révision 27/01/2005